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Feu à bord du paquebot Ocean Pearl de la compagnie française Paquet en 1992 |
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Le chef ingénieur anglais avait pourtant bien prévenu Paquet 4 mois auparavant ! |
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Le luxueux paquebot français "Ocean Pearl" (Croisières Paquet) enchante l'Asie. Une croisière de 13 jours de Singapour à Bangkok en passant par Bali la mystérieuse. Il règne un air de fête car, ce soir, aura lieu le cocktail de bienvenue. |
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La salle des machines est en feu, l'équipage essaie d'y déverser de l'eau par la cheminée. |
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Le commandant en second, Jeremy Kingston, au pied de la cheminée. |
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La fumée noire et épaisse a envahi tout le bateau en passant dans les conduits d'aération. Mis à part les petites lampes de secours, il n’y a plus de lumière. |
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Dans la salle de contrôle des machines, le chef mécanicien David Harrisson transpire |
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L’alarme est sonnée. Une fumée noire et épaisse a déjà envahi les escaliers et les couloirs des ponts inférieurs. Les passagers, la plupart munis de leur gilet de sauvetage, sont évacués sur les ponts extérieurs. |
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Un passager s'est évanoui durant la chaude attente. Chacun craint que la prochaine annonce sera le signal : "Abandonnez le navire". |
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Les passagers, la plupart munis de leur gilet de sauvetage, sont évacués sur les ponts extérieurs. Les canots sont descendus à hauteur du pont, prêts pour l’évacuation. Chacun attend anxieusement. La fumée épaissit. Tout le monde sait que le feu est le plus grand danger pour un navire en mer : surtout s’il se déclare en dessous de la ligne de flottaison, ou se propage par les conduits d’aération ou s’il atteint les soutes de combustible. |
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L’alarme est sonnée. Une fumée noire et épaisse a déjà envahi les escaliers et les couloirs des ponts inférieurs |
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L'équipage redevient souriant, même si les uniformes ne sont plus immaculés. Il faut bientôt reprendre le travail et prendre des décisions sur la suite des événements, préparer le dîner, nettoyer et surtout rétablir l’électricité, l’eau et la climatisation. |
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Le commandant en second, Jeremy Kingston, et le chef mécanicien David Harrison se dirigent vers le bar. Des annonces se succèdent : le feu est éteint mais personne n’est autorisé à rentrer à l’intérieur. La fumée prendra du temps à se dissiper car il n’y a plus de ventilation dans le bateau. |
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Votre humble photographe et narrateur Christian Fournier |
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Nicole s'assure que sa peluche favorite ne périra pas dans l'incendie. |
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Le photographe Christian Fournier et l'un des courageux Philippins de l'équipage, Rony, devant l'une des portes carbonisées. |
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Le chef mécanicien David Harrison contemple les dégâts dans la salle des machines. Des débuts de feux avaient déjà été éteints quelques semaines auparavant. Pour les 370 passagers à bord, c'était le début de belles vacances de rêve : une croisière de 13 jours de Singapour à Bangkok en passant par Bali la mystérieuse. Des morceaux de la machine, en acier, ont fondu, tellement la chaleur était intense. La salle des carburants aurait pu être atteinte et c'était la fin du bateau. |
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Vers 19h00, les passagers peuvent retourner à l’intérieur du bateau. La fumée s’est dissipée, seule reste l’odeur de brûlé. L’électricité est rétablie mais il n’y a toujours pas d’eau et de circulation d’air. Un buffet froid est servi au restaurant Orchidée et l’orchestre joue dans le salon Marco Polo. Une nuit chaude attend les passagers : l’air conditionné ne sera pas opérationnel avant le lendemain soir. La plupart des passagers dormira à la belle étoile sur les ponts, leurs gilets de sauvetage derrière eux. |
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Un cuisinier trouve un coin frais pour passer la nuit : le frigo des légumes. |
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Les signaux de détresse ont bien été reçus, l'époque du Titanic étant révolue, car le lendemain matin, un autre bateau de croisière, le "Sea Princess", s'est détourné pour accueillir les passagers. Un autre paquebot vient évacuer les passagers de l'Ocean Pearl. |
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Des remorqueurs viennent tirer l'Ocean Pearl jusqu'à Singapour, car le bateau de croisière ne peut plus se déplacer de lui-même, ses moteurs étant fondus. Le dernier danger, la dérive aux grès des flots pendant une nuit, est donc fini. On aperçoit au fond les générateurs d'appoint installés une quinzaine de jours auparavant pour remédier à des déficiences précédentes du moteur. |
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INCENDIE A BORD DU PAQUEBOT "OCEAN PEARL |
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Cet article (texte et photos) a été immédiatement acheté par Sipa Press, Paris, après faxage des photos et du texte depuis Jakarta. Les photos originales ont été envoyées par DHL deux heures plus tard. L'affaire était conclue. Sipa a retourné les photos 5 jours plus tard avec la mention : invendable. Ceci est absolument impensable en presse car l'article est alors trop vieux et inutilisable. Aucune autre explication, ni compensation. Deux ans plus tard, lors d'un dîner à bord du Club Med II lors de sa croisière inaugurale, j'ai appris par un membre du gouvernement que mon article était arrivé sur le bureau du premier ministre (Chirac à l'époque) et avait reçu un veto, car la compagnie maritime a été suffisamment.......... persuasive.............Cela veut dire qu'elle a "graissé la patte" de politiciens et que ces politiciens ont pu influencer une agence de presse française à ne pas faire paraître un article. Voila pour la liberté de presse en France. |
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Mardi 12 février 1992, 15h30 : le luxueux paquebot français "Ocean Pearl" (Croisières Paquet) fait route vers Jakarta (Indonésie). C’est une belle journée et la mer est calme. Pour les 370 passagers à bord, ce sont les débuts de belles vacances de rêve : une croisière de 13 jours de Singapour à Bangkok en passant par Bali la mystérieuse. Il règne un air de fête car, ce soir, aura lieu le cocktail de bienvenue. Soudain, le commandant en second Jeremy Kingston fait une annonce par le système de haut parleurs du bateau ; le son de sa voix essoufflée et angoissée restera gravé à jamais dans l’esprit de beaucoup. "Cette annonce ne concerne que l’équipage. Alerte à l’équipage, alerte à l’équipage. Equipe A à la salle des machines, équipe A à la salle des machines." |
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L’alarme est alors sonnée. Une fumée noire et épaisse a déjà envahi les escaliers et les couloirs des ponts inférieurs. Les membres d’équipage sont à leur point de rassemblement en moins de cinq minutes ; Personne ne plaisante, il y a déjà eu une alerte lors de la croisière précédente. Peu de temps après, les passagers, la plupart munis de leur gilet de sauvetage, sont évacués sur les ponts extérieurs. A l’intérieur du bateau, la fumée s’épaissit. Mis à part les petites lampes de secours, il n’y a plus de lumière. Dans ce labyrinthe sombre et enfumé, les retardataires sont dirigés vers l’air libre. Une fois que les passagers sont sains et saufs sur les ponts et comptés, l’équipage est autorisé à se rendre près des canots de sauvetage. Il n’y a pas de panique, mais des visages inquiets fixent la fumée noire qui s’échappe du milieu du bateau. Des gilets de sauvetage sont distribués à ceux qui n’ont pas eu le temps de se rendre à leur cabine. Les canots sont descendus à hauteur du pont, prêts pour l’évacuation. Chacun attend anxieusement. Une dame porte encore des bigoudis, une des coiffeuses tient un peigne à la main. Plus bas, les mécaniciens et les pompiers luttent dans le noir contre le feu, la chaleur et la fumée. Tous savent que le feu est le plus grand danger pour un navire en mer : surtout s’il se déclare en dessous de la ligne de flottaison, ou se propage par les conduits d’aération ou s’il atteint les soutes de combustible. Les commissaires de bord ont emporté tous les passeports et documents précieux dans des sacs poubelle, la responsable du casino transporte sur elle les fonds du casino et semble être enceinte. |
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Deux bateaux (de petits cargos) se détournent de leur route et convergent vers l’Ocean Pearl : les signaux de détresse ont bien été reçus. L’époque du Titanic est révolue ! La fumée qui s’échappe du pont supérieur est impressionnante. Les canots de sauvetage sont prêts. Chacun craint que la prochaine annonce sera le signal : "abandonnez le navire". Mais, l’annonce suivante vient du Commandant Pierre Delery : marchant le long du pont supérieur, mégaphone en main, il explique que le système de haut-parleurs ne fonctionne plus. Il annonce que le feu est sous contrôle mais que chacun doit rester calmement à l’extérieur. |
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Des mécaniciens et des pompiers couverts de suie font leur apparition sur les ponts munis de lances d’incendie et commencent à déverser de l’eau autour et dans la cheminée afin de faire baisser la température qui règne dans la salle des machines. Les deux cargos s’éloignent et reprennent leur route après leur vigile silencieuse et rassurante. Des annonces se succèdent : le feu est éteint mais personne n’est autorisé à rentrer à l’intérieur. La fumée prendra du temps à se dissiper car il n’y a plus de ventilation dans le bateau. Chacun se détend maintenant. Des verres d’eau et des serviettes rafraîchissantes sont distribués. Plusieurs membres d’équipage reprennent leur travail : il faut prendre des décisions sur la suite des événements, préparer le dîner, nettoyer et surtout rétablir l’électricité, l’eau et la climatisation. Il n’y a pas de victime (un homme s’est évanoui : angoisse et/ou chaleur). Pas de dégât dans le bateau : le feu a été confiné à la salle des machines où il a commencé. Vers 19h00, les passagers peuvent retourner à l’intérieur du bateau. La fumée s’est dissipée, seule reste l’odeur de brûlé. L’électricité est rétablie mais il n’y a toujours pas d’eau et de circulation d’air. Un buffet froid est servi au restaurant Orchidée et l’orchestre joue dans le salon Marco Polo. Une nuit chaude attend les passagers : l’air conditionné ne sera pas opérationnel avant le lendemain soir. La plupart dormiront à la belle étoile sur les ponts. Le bateau de croisière ne peut plus se déplacer de lui-même car ses moteurs sont fondus. I'Ocean Pearl " dérive donc toute la nuit au grè des flots. C'est très dangereux, mais les signaux de détresse ont bien été reçus, le lendemain, un autre bateau de croisière, le "Sea Princess", s'est détourné pour accueillir les passagers. Le transfert se fera avec les chaloupes des deux navires. |
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Le SS Norway a été rebaptisé SS France pour cette croisière |
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Baptême. Photo au fish-eye car ce paquebot est très grand ! |
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Henri Salvador et sa femme. |
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Pierre Vassiliu et sa femme. |
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Uderzo Albert Uderzo, né Alberto Aleandro Uderzo le 25 avril 1927 à Fismes, est un dessinateur et scénariste de bande dessinée français d'origine italienne. Il est le créateur, avec le scénariste René Goscinny, de la série Astérix. |
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César César Baldaccini, dit César, est un sculpteur français, né le 1er janvier 1921 à Marseille (Bouches-du-Rhône) et mort le 6 décembre 1998 à Paris. Il fait partie des membres des Nouveaux réalistes, mouvement né en 1960. Il est également le créateur du trophée en ??on?? de la cérémonie des césar du cinéma français. |
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Jacques Martin et Isabelle Aubret Jacques Martin, né le 22 juin 1933 à Lyon (4e arrondissement) dans le Rhône et mort le 14 septembre 2007 à Biarritz dans les Pyrénées-Atlantiques, est un comédien, animateur de radio et de télévision, producteur de télévision français. Son père joue de sept instruments, et cette passion pour la musique et celle de la cuisine, l'accompagneront toute sa vie ; son fils est un cuisinier habitué des chaînes de télévision françaises Après avoir débuté par le théâtre en 1949, il a produit et animé entre les années 1970 et 1990 de nombreuses émissions de divertissement comme Le Petit Rapporteur, L'École des fans ou Dimanche Martin. Isabelle Aubret (née Thérèse Coquerelle, le 27 juillet 1938, à Lille, Nord), est une chanteuse française. En 1952, elle remporta les Championnats de France de gymnastique et en 1962, le Concours Eurovision de la chanson pour la France, avec la chanson Un premier amour. |
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Henri Salvador Henri Gabriel Salvador, né à Cayenne, en Guyane, le 18 juillet 19171 et mort à Paris le 13 février 20082, est un chanteur et humoriste français. Compositeur et guitariste, il joua à ses débuts dans des orchestres de jazz français. Sa longue carrière (débutée dans les années 1930), prend une nouvelle dimension lorsqu'il entame à partir de 1948, une carrière de chanteur. Artiste populaire, apprécié d'un large public, on lui doit de nombreuses chansons qui aujourd'hui encore demeurent dans les mémoires : Syracuse ; Maladie d’amour ; Le Loup, la Biche et le Chevalier (Une chanson douce) ; Le lion est mort ce soir ; Dans mon île ; Le travail c’est la santé ; Zorro est arrivé… Avec Sacha Distel, ce sont les deux seuls chanteurs français de variété à figurer dans le Dictionnaire du Jazz. Son corps repose au cimetière du Père-Lachaise, à Paris, non loin de celui d'Édith Piaf. Henri Salvador |
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Je voudrais du soleil vert |
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Walter Spanghero Walter Spanghero (prononcé Oualtèr dans le sud-ouest ; dit L'Homme de Fer par les sud-africains, à l'issue de la tournée de 1967) est un joueur de rugby à XV, né le 21 décembre 1943 à Payra-sur-l'Hers, dans le Lauragais : 1,86 m pour 100 kg, aux mains impressionnantes, aussi à l'aise en deuxième ligne qu'en troisième ligne centre et aile. |
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Les Coco Girls Les Coco-girls sont une troupe de danseuses et de chanteuses créée par l'humoriste et animateur de télévision français Stéphane Collaro. Elles participent aux émissions Coco-Boy (1982-1984), Cocoricocoboy (1984-1986) puis Collaricocoshow (1987). Elles sont toujours présentées par quatre. Elles ont la particularité d'apparaître le plus souvent dans des tenues très dévêtues et très sexy. Les coco-girls sont souvent des ex-danseuses de cabaret, d'ancienne miss, comme Fenella Masse Mathews, Paula ou Alexandra Lorska du Crazy Horse Saloon. Ainsi, elles ont ce qui est demandé par Stéphane Collaro pour en faire l'atout charme de ses émissions emblématiques des années 80 : être de belles femmes et des danseuses hors pair. Les coco-girls ont enregistré de nombreuses chansons faisant à chaque fois l'objet d'une sortie en disque. Parmi les titres les plus connus : Coco Girl, Ce mec est too much, Cocoricocoboy, Fais-moi du Chachacha, On préfère les rigolos, Coco Dingo, Touche pas à mon homme, Macho mambo, Flics de chocs. |
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Les Coco girls |
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Eddy Barcklay Eddie Barclay (né Édouard Ruault, le 26 janvier 1921 dans le 12e arrondissement de Paris - mort le 13 mai 2005 à Boulogne-Billancourt) fut un des plus importants éditeurs et producteurs de musique français entre les années 1950 et les années 1980 surnommé « l'empereur du microsillon ». |
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Keith Jarett |
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Walter Spanghero |
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L'équipe Jaques Martin |
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The paper trimmer. Here on S/S Norway, former S/S France. |
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clubmed_006 |
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Jacques Martin |
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The Bahamamamarama |
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Don Lewis, le directeur de croisère présente l'équipe photo. The S/S Norway photographers and Mary d'Angelo |
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Le grand escalier de la salle à manger de deux étages. |
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Pierre Vassiliu Au tout début des années 1950, sa passion pour le sport hippique le mène à devenir apprenti jockey : il fait son apprentissage à Chantilly chez Jean Laumain, entraineur de chevaux de courses pour qui il gagne six courses[réf. nécessaire]. À l'hippodrome du Tremblay, le hasard va lui permettre de rencontrer deux apprentis cavaliers, qui ne sont autres que Roger Pierre et Jean-Marc Thibault. Ceux-ci, apprenant qu'il meuble son temps libre à écrire et composer des chansons, l'entraînent hors des paddocks pour commencer à chanter ses textes, mais également ceux de Georges Brassens à « l'Écluse » et « l'Échelle de Jacob », cabarets parisiens très populaires à l'époque. Son premier disque, Armand, sorti en 1962, est un énorme succès, et se vend à 150 000 exemplaires. Coécrit avec son frère Michel, ce titre lui ouvre les portes de l'Olympia, où il fait la première partie des Beatles. Suit une tournée de deux mois avec Françoise Hardy, Jacques Dutronc et Johnny Hallyday. Il enchaîne les tubes comme Charlotte, Ivanhoe ou La femme du sergent, censuré pour cause de guerre d'Algérie. Son titre Qui c'est celui-là ?, sorti en 1973 et adapté de Partido Alto, de Chico Buarque, a été vendu à plus de 300 000 exemplaires, et l'a mis dans la mémoire des 9 -18 ans de l'époque. La même année, il signe la bande originale du téléfilm en quatre parties la Duchesse d'Avila, d'après Jan Potocki. Ses textes expriment des choses diverses : une indifférence amusée à l'égard du monde (Qui c'est, celui-là ?, La vie ça va, Armand son premier succès de 1962), mais aussi un regard critique sur ce même monde (La femme du sergent, Dangereux), un souci d'en rester spectateur (Film), des chansons aussi romantiques et tendres (Amour, amitié), l'admiration de certaines qualités humaines universelles (Toucouleur), un épicurisme et un érotisme amusant et de bon aloi (Le pied, Nuits françaises, En Vadrouille à Montpellier), et beaucoup de contrepèteries (Alice, Ma cousine, Mon cousin). Pierre Vassiliu est également apparu dans quelques films comme La Saignée (1971), What a Flash ! (1972), Périgord noir (1989). En 2002, il reprend avec Thallia L'Été ou est-il ?, de Boby Lapointe, sur l'album Boby Tutti-Frutti - L'hommage délicieux à Boby Lapointe, de Lilicub. En 2003, il a fait un CD avec des griots Sénégalais : l'orchestre Kalone, de la Casamance, région du sud Sénégal, où il a vécu. Pierre a plusieurs enfants. L'un de ses fils est Dimitri Vassiliu, concepteur lumière (éclairagiste) reconnu, qui a travaillé pour de nombreux artistes français, parmi lesquels Mylène Farmer, De Palmas, Calogero, Zazie… |
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Jacques Martin |
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Isabelle Aubret |
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SS France was a Compagnie Générale Transatlantique (CGT, or French Line) ocean liner, constructed by the Chantiers de l'Atlantique shipyard at Saint-Nazaire, France, and put into service in February 1962. At the time of her construction in 1960, the 316 m (1,037 ft) vessel was the longest passenger ship ever built, a record that remained unchallenged until the construction of the 345 m (1,132 ft) RMS Queen Mary 2 in 2004. |
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Service history as France. |
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Poster advertising France's 1965 Christmas and New Year's cruise to the West African coast. First decommissioning |
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Norway leaving Lloyd shipyards in Bremerhaven after conversion. The mothballing of France was met with dismay by much of the French population, resulting in a song by Michel Sardou, titled "Le France". The ship sat in the same spot for approximately four years, with the interiors, including all furniture, still completely intact. There were no plans to scrap the ship, or to sell it. In 1977 Saudi Arabian millionaire Akram Ojjeh expressed an interest in purchasing the vessel for use as a floating museum for antique French furniture and artworks, as well as a casino and hotel off the coast of the south-east United States. Though he purchased the ship for $24 million, this proposal was never realised, and others were rumoured to have floated, including bids from the Soviet Union to use her as a hotel ship in the Black Sea, and a proposal from China to turn her into a floating industrial trade fair. In the end, the ship was sold in 1979 to Knut Kloster, the owner of Norwegian Caribbean Line for $18 million for conversion into the world's largest cruise ship. Just before France was renamed Norway one last marriage was performed aboard the ship at the quay in Le Havre. The wedding was performed by Reverend Agnar Holme, the Norwegian Seaman's chaplain. Greg Tighe, Director of Research and Corporate Development for NCL, was married to Lorraine Anne Evering in France's chapel. Witnesses included the ship's Captain, and several members of NCL's management team. This marked the last marriage to be performed aboard France, which had hosted hundreds of weddings over her transatlantic career. By August of that year Norway was moved to the Lloyd shipyards in Bremerhaven, Germany, where she would undergo renovations to the cost of $80 million. Service history as Norway |
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Norway at Velsen, the Netherlands Norway was registered in Oslo, given the call sign LITA (literally meaning "small"), and was re-christened on 14 April 1980. She was the first (and only) purpose-built transatlantic ocean liner that was remodeled to be employed exclusively in luxury cruise service. Her hull form, bow design, and accommodation layout had been designed specifically for the rigors of crossing the North Atlantic, year-round. In her remodeling for cruise service, she was given a more generous accommodation, as well as larger and more numerous public spaces for the cruise-type recreations. Mechanically, the four screw propulsion plant was reduced to two screws. And in a bid for economy, she was given a complete set of bow/stern thrusters to give her the flexibility she needed to bring her into harbour; and, to dock, without resort to the expensive pilot and tugboat operations that were standard procedure in the heyday of the transatlantic express liners. When her re-fit was completed; and on her maiden call to Oslo, Senior Steward Wesley Samuels of Jamaica, in the presence of King Olav V, hoisted the United Nations flag as a sign of the ship's international crew. She began her maiden voyage to Miami that same year, amidst speculation about her future in the cruise industry. France had been built as an ocean liner: for speed; long, narrow, with a deep draft, as well as an array of cabin shapes and sizes designed in a compact manner more for purpose travel than languid cruising. But Norway proved popular, and made the notion of the ship being a destination in itself credible. Her size, passenger capacity, and amenities revolutionized the cruise industry and started a building frenzy as competitors began to order larger ships. As cruise competition attempted to take some of Norway's brisk business, Norway herself was upgraded several times in order to maintain her position as the "grande dame" of the Caribbean. In September and October 1990, there was the addition of two decks atop her superstructure, adding 135 new suites and luxury cabins. While many ship aficionados believe the new decks spoiled her original clean, classic lines, the new private veranda cabins on the added decks were instrumental in keeping Norway financially afloat during the later years of her operation, as these became a common feature throughout the cruise industry. She received additional refits in 1993 and 1996 in order to comply with the new SOLAS (Safety of Life at Sea) regulations. Competition eventually overtook Norway, and she even started taking a back seat to other, newly built ships in NCL's lineup itself. No longer the "Ship amongst Ships", NCL severely cut back on her maintenance and upkeep. She experienced several mechanical breakdowns, fires, incidents of illegal waste dumping, and safety violations for which she was detained at port pending repairs. Despite the cutbacks, the ship remained extremely popular among cruise enthusiasts, some of whom questioned the owner's actions in light of the continuing successful operation of Queen Elizabeth 2, which had become a well-maintained rival still operating 5-star luxury cruises and transatlantic crossings for Cunard. In spite of this, the cutbacks continued and problems mounted even as the ship continued to sail with full occupancy. A turbocharger fire erupted on Norway as she entered Barcelona in 1999, which pulled her out of service for three weeks. During one of the following cruises to Norway she broke down in Bergen with leaks to one of the propeller seals delaying sailing until repaired. |
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Norway in Flåm Norway 1999 Former itineraries as Norway. Second decommissioning. Norway moored in Bremerhaven, Germany, February 2004 Blue Lady at Alang, India, awaiting scrapping. The bow exhibited in Paris, after having been sold by auction |
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J'ai revu le S/S Norway lors du festival de Cannes en 1998. |
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Dommage que la France n'ait pas su le faire fonctionner comme paquebot (trop de grèves à répétition) alors que les Norvégiens l'ont fait pendant 20 ans. Dommage qu'on ne l'ait pas gardé comme musée ou hôtel non navigant |
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Le nez du France au Port de Grenelle : L'étrave de l'ancien paquebot France se trouve actuellement (2017) sur le quai de Grenelle à Paris. A l'époque, en mai 1960, c'est le plus gros bateau du monde. Mais la crise a raison de celui que l'on surnomme "Le Prince des mers". Le déficit d'exploitation atteint les 100 millions de Francs par ans et Valery Giscard d'Estaing déclare la fin du naufrage. Le France est désarmé en 1974. Partie supérieure de l'étrave en acier peint avec sa rambarde et son écubier de pointe. Restauré dans sa peinture díorigine, coque noire, liston blanc. Ber de présentation en acier laqué. Poids : environ 4,1 tonnes. |
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Le ClubMed II et ses pratiques débiles en 1992. |
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Je suis le photographe officiel de la croisière inaugurale qui part du Havre (là ou il a été construit) jusqu'en Nouvelle-Calédonie (avec escales à Djibouti, en Australie et au Japon pour faire de la pub). 3 mois. Je ne suis jamais autant ennuyé de ma vie ! |
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Le Club Med 2, l'un des plus beaux palaces du monde, est une goélette à cinq-mâts et à voiles d'étai dont la construction commence en 1989 aux chantiers navals du Havre (Société nouvelle des Ateliers et Chantiers du Havre). Il est lancé en 1992 et passe les six premières années de navigation dans le Pacifique, pour finalement alterner par la suite principalement entre la Méditerranée et les Caraïbes. |
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Australie Japon |
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Le canal de suez |
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Ce "bizutage" Club Med II lors du passage de l'équateur m'a choqué. J'avais déjà vécu ça à bord d'autres paquebots US, en sympa et amusant, mais ici on se serait cru dans un passage à tabac très malsain. Les Français se défoulent de manière très agressive sur les autres. Cela m'a rappelé la tonsure que j’ai subie au service militaire. Complètement différent sur les bateaux américains où le seul but était de rire. |
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